L'imposture de l’éolien et du photovoltaïque
Par Michel Gay
En 2019, la part des charges du service public de l’énergie pour les énergies renouvelables uniquement se montera à environ 8 milliards d’euros (Md€) selon le Président de la République dans son discours du 27 novembre 2018.
Ces taxes ont déjà été qualifiées le 13 décembre 2006 par le Conseil d’Etat « d’imposition innomée» (innommable ?), expression reprise par la Cour des comptes en juin 2012. Elles profiteront essentiellement à l’éolien et au photovoltaïque qui ne représentent respectivement que 4 % et 2 % de la production d’électricité nationale.
Productions erratiques
Les variations aléatoires des éoliennes et des panneaux photovoltaïques (PV) peuvent être rapides (à l’échelle de l’heure). En cas de forte puissance éolienne et photovoltaïque installée, il est donc indispensable de disposer de moyens réactifs de production comme l’hydraulique et les centrales thermiques au gaz.
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